Elegie

Marie Gladilina
La mer devant nous,
Elle nous touche toujours;
Par ses yeux, par son corps,
Par les vagues du jour;

Le paysage s’éloigne
Droit  vers le même horison;
On décrit la jeunesse
Dans les autres saisons;

Et l’on croit au silence
Des habits de cette mer;
Où se cachent les côtes,
Où se cache la terre.