Êîíêóðñ Ôðàíöóçñêîé ïîýçèè 2014. Àíäðå Ëàáðîñ

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ÀÍÄÐÅ ËÀÁÐÎÑ. ÊÀÍÀÄÀ

Andre Labrosse

Ñòèõè äëÿ ïåðåâîäà ñ ôðàíöóçñêîãî áåç ïîìîùè äîñëîâíîãî ïåðåâîäà, ïîäãîòîâëåííîãî äëÿ êîíêóðñà:

Ce ciel.-

Je regarde le ciel, quelques nuages peureux.
J’en ris, je continue mes pas d;sinvoltes.
Vent frisquet, l’esprit rafra;chit
Mes h;sitations, mes ;tourderies.

Je regarde le ciel, l’immensit; ; d;couvrir.
Le plaisir ; r;ver, l’explicable pour s’adoucir.
Un besoin de s’;vader de la fa;on subtile.
Aucun pourquoi, de l’ivresse ; comprendre.

Je regarde le ciel, il me comble de satisfaction.
Un sourire l;ger pour croire au bonheur.
Le lointain que je voudrais avec gloire.
Perception d’apaisement, brise soudaine.

Je regarde le ciel sans pens;e pr;cise.
De la l;g;ret; ; percevoir ma raison.
Pourquoi comprendre, laisser s’envoler l’absurde.
;tre l;ger, divaguer quelque peu, un jeu.

Je regarde le ciel, un moment si agr;able.
Je ferme les yeux, le temps s’arr;te.
L’esprit n;ant, un c;ur en repos.
Enfin la libert;, une paix si souhai


Andre Labrosse

LES AILES DE LA LIBERTE
      
Dehors la froidure glace les cedres enneiges.
Tout n’est que  respect dans cette nature violente.
La blancheur fige les etres deroutes
 Et voila que des oiseaux m’enchantent…
Leur arrivee soudaine dans les perchoirs
Denotent leur fragilite a survivre.
De freles chardonnerets crient leur desespoir
Nourriture ! Nous voulons vivre!!!
Sans plus attendre , je leur offre des graines nourricieres.
Se melent des geais  bleus jasant de satisfaction
Et maintenant des mesanges dans une fierte altiere.
Petits  etres de douceur en cette  terr ible saison !
Je les scrute dans des mouvements sans arret.
Leur courage , une lecon  de vie admirable!
Un respect  m’envahit  dans une humble paix.
J’ envie  leur liberte  d’un regard agreable.
Le jour s’estompe… Il se cachent de la gelure.
L’Etre Supreme a cree votre beaute mais pourquoi  soffrir?
La douceur , votre royaume;la terre , la douleur,l’azur…
Allez! Voltigez votre grace pour mieux m’eblouir…

Andre Labrosse

S’AIMER

J’aime  l’amour , la vie d’un baiser.
Revasser d’un bonheur supplie.
Sentir un doux vent , mille caresses.
Etre l’extase d’un corps sans paresse.
Fermes les yeux, un sourire de jouissance.
L’immortalite  d’une fusion, d’un corps.
Etre l’apogee d’une grandiose prestance.
Aisance d’une peau ,fremissement  d’une flore.
Le calme d’un toucher ,effleurer  des sensations.
Trembler d’emotions  dans l’ivresse d’un instant.
Douce musique ou` le reve n’est qu’action.
Sublimite que je desire ,doux amant.
J’aime l’amour dans un silence merveilleux.
Une nudite correcte’ tout pres d’un feu.
Des images que je souhaite, douceur extraordinaire.
Chaleur exquise, je veux tellement plaire!!!

Andre Labrosse


Printemps d’amour

Femme savoureuse au doux chemisier,
Les corneilles craillent ; l’horizon.
De bonnes odeurs dans ta pi;ce parfum;e,
Les arbres se d;placent en chanson.

Chaleur humaine, bourgeons ;clos,
Un sourire d’amour, des l;vres suaves,
Natures verd;tres, un vent tout chaud
Balayant d’une main ces ;paves.

Persiennes ouvertes, soleil chaleureux,
Le m;le caresse cette charpente divine.
De la beaut; alpestre, il en est heureux!
Passion aveugle de son pr;nom, C;line.

Rivi;re c;line en de tendres souvenirs,
Eaux limpides purifiant nos corps gel;s,
De l’amour cach; que l’on veut b;nir.
Exquisit;, partage d’un moment printanier.

Quelques pas l;gers sur de l’herbe peu froiss;,
Un serment fra;chement avou; dans cet azur.
De la puret; saisonni;re ; peine exclam;e
Et me voil; amour pr;sent et futur…



Andre Labrosse


Fleurs apprivoisees

Fleur femelle, ton calice m’enveloppe à ravir.
Tes odeurs charment, l’arome ultime pour m’eblouir.
Une brise caresse ta tige, un spectacle embaumant.
La gracieusete de l’instant, un toucher charmant.

Fleur mâle, la fierte de tes petales, un regal!
Le sublime, un fleuron inconteste, l’ornemental.
Jouissance d’une présence reproductive, savoureuse.
Se deployer, la beaute masculine, juteuse.

Fleur hermaphrodite, nature complexe à comprendre.
Un duvet mysterieux qui se deploie sans attendre
À la recherche de son identite, couleurs diverses.
Le merite de s’arrêter malgré mille averses.

Fleurs des pois, le mele recherche, grandeur physique.
L’elegance assuree, boutonnière magique.
Pollinisation approuvee, inflorescence.
Des regards non moderes, douce cadence.

Fleurs en pot, de l’eau, je vous en prie!
L’asphyxie totale, se deployer m’Amie!
Près de la fenetre, souffrance, chaleur silencieuse.
Se retirer, un peu d’ombre, vie spacieuse.

Fleur cultivee, la conduite assuree, coloris magnifiques.
La bienseance aveugle, des semences aristocratiques.
D’une droiture exemplaire, la royauté avantagee.
Legere timidite, fleuraison non fanee.

Fleurs de rhetorique, l’ombrelle odorante.
Des mots légers, une gerbe palpitante.
La flore des phrases, bouquetière de rimes.
Royaute d’une plume qui s’exprime…

Fleurs du mal, dechirure du poète, le spleen devaste.
Vacillement d’une ecriture, un paradis desespere.
La luxure morbide, le fletrissement cervical.
Fraîcheur malodorante, espoir floral.

Fleurer malgre tout l’existence d’une beaute flexible.
Floraison, l’epanouissement à la mesure du tangible.
Fleurage, un pietinement gracieux, la volupte.
Floralies, tu m’entoures sans épines vers l’eternite.


Fragrance d’amour

Un corps  feutre de caresses.
Un peau chaude d’ivresse.
L’amant ,cette gentille canaille,
Etendu sur une douce paille
Leche des baisers enivrants
Dans l’attende du mot gemissant.
Tu es l’enchanteresse maitresse
Aux cheveux remplis de tresses.
L’esquisse d’une admirable ingenue
A la peau rosee merveilleusement nue.
Je bois tes larmes sensuelles
Dans un plaisir d’une ritournelle.
Odeur charnelle,chaude passion,
Le lit accueille nos splendides actions,
Un sourire mouille des yeux  provocateurs,
Le regard trace d’une belle chaleur,
Nuit de  sensations,souvenirs inoubliables
Rideau ferme dans l’inexplicable...



Avatard

Entitå impersonnelle, qui es-tu ?
Virtuel masquå, la crainte d’åtre perñue.
Un voile, une image, perception åtrange.
Le myståre, l’incapable de se divulguer.

Avatar, trop tard pour s’illuminer.
Refus de sa personnalitå råelle, l’incroyable
Mais qu’importe ! Nous sommes l’interrogation.
L’humain et ainsi avec ses incertitud

                ***
Joie indescriptible, printemps dåsirå.
Le soleil inåvitable, festin espårå.
Åclat de rire, partage canon.
Vent inånarrable, visage mignon.
 
Plaisir charmant, regard paisible.
Le verdåtre apaisant, l’accessible.
Danse printemps, calme ob;issant.
Spectacle grandiose, fåbrilitå de l’enfant.


La chance.-

Tout prås, bonheur-du-jour m’accueille discråtement
à la recherche d’un bien-åtre quelconque, dålicieusement.
Une båatitude entre les mots, la belle connaissance.
Comprendre la vie, s’åloigner d’une pånitence.
Tenter un contentement à l’approche d’une inquiåtude.
Se battre pour l’amour, douce et tendre plånitude.
Fuir l’åchec, s’åloigner d’un malheur certain.
åtre puissant avec sa plume, agråable refrain.
Le ravissement d’un souffle chaleureux, nulle menace.
Se baigner d’amitiå, converser, accord fugace.
Le sourire merveilleux, sinc;rit; absolue.
De la våracitå, jouissance confondue.
L’euphorie d’une aura respectable, respectåe.
L’applaudissement de s’expliquer, l’envolåe.
Un vîåu pieux, s’enrichir, la noblesse des mots.
Grandir, combattre l’indiffårence, p;nible åcho.
Apprendre doucement, dåcortiquer l’insaisissable.
Se nourrir d’espoir, caresses franchissables.
Ouvrir le tiroir magique, douce fleur.
Dåcouvrir enfin l’immense bonheur.


Soiree Andre Labrosse

Piege d’amour depuis longtemps  desire,
Saveur delectable d’une musique  veloutee
Ou` le coeur s’extasie  d’une levre aimante
En ces minutes glorieuses et offrandes.
Corps denude de toutes impuretes insalubres,
De la joie s’y installe  ignorant le lugubre
Y faisant place a` l’amour de plusieurs nuits
Ou` l’habitude  n’est  peu a` l’approche  du fuit.
Feu crepitant  de mille baisers flamboyants,
Je te desire dans une ardeur  plus qu’enfant.
Immortalite  du geste,c’est l’amour sincere
D’une vie qui nous offre une belle galere.



Mon “Moi” Andre Labrosse

Tu es mienne au plus profond de moi,
Tu es ma Reine sous un silence evocateur.
Tu es le joyau qui en fait foi,
Tu es ce que je desire avec ardeur.
Tu es ma planche de salut vers l’apogee,
Tu es mon desir  frisant la folie.
Tu es mon destin pour y rester,
Tu es mon corps au rythme du defi.
Tu es mon soleil ,mon sourire,ma gaiete,
Ma force ,mon regain,mon espoir de tous les jours.
Tu es tout et plus encore,ma Bien-aimee ;
Tu  es un Amour et plus que mille discours...




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