Sangria

Íàòàëè Óðáîíàñ
Les jours qui passent et qui meurtrissent
Mon coeur, mon coeur …
Sans ton baiser et ton fou rire
Il n’y a plus d’bonheur…
Tristesse m’emporte, ce vin remplace
Mon sang, mes joies.
Ton corps me manque et mon esprit
Se fige d’chagrin.
Meme si j’te trouve au paradis
Le jour venu,
Comment remplir toutes ces annees
D’attente perdue ?
Je bois ce vin pour entrevoir
Sous voile nuageux
Juste ton reflet, tes yeux d’amour …
Je prie les cieux !
Une autre femme le temps de danse,
L’instant d’chaleur
Ses pas qui suivent tes traces, tes cendres -
Mon coeur en deuil …
Je t’aime en elle, je t’aime si tendre
Et si fragile …
Ta voix, ma douce, j’aimerais l’entendre,
Passion docile …

Nathalie Ourbonas
04.01.2016