Au moment o; je sors et je vois ce soleil
Si radieux que mes yeux se ferment,
La nature lentement endormie me relaye
Une chaleur immolant de l'enfer.
Mes pens;es sophistiqu;es soulag;s plus que jamais,
Le visage est tourn; vers Dieux,
Mais mon c;ur sid;r;. En ;tant allum;
Il devient un soleil radieux.
Et je r;ve de marche dans le d;sert, fatigu;
De mouvements, resserr;s de chaleur,
Maintenant, il est s;r que je suis navigu;
Par la vie qui n'a pas de valeur.
J'ai march; mollement,je suis tomb; dans un sable
Qui ;tait ac;r; et ardent.
J'ai ;tait tout ma vie tout ; fait invivable
Finalement je suis y mort imprudent.