Êîíêóðñ ïåðåâîäîâ ôð. ïîýçèè Àíäðå Ëàáðîñ

Ñâåòëàíà Ïðèãîöêàÿ
  Êîíêóðñ Ôðàíöóçñêîé ïîýçèè 2014. Àíäðå Ëàáðîñ
Îëüãà Ìàëüöåâà-Àðçèàíè2
Êîíêóðñ Ôðàíöóçñêîé ïîýçèè 2014.

ÀÍÄÐÅ ËÀÁÐÎÑ. ÊÀÍÀÄÀ

Andre Labrosse


 Â ÍÀØÅÌ ÊÎÍÊÓÐÑÅ ÏÐÈÍÈÌÀÞÒ Ó×ÀÑÒÈÅ ÏÎÝÒÛ ÔÐÀÍÖÈÈ!
ÂÀØÅÌÓ ÂÍÈÌÀÍÈÞ ÁÓÄÓÒ ÏÐÅÄËÎÆÅÍÛ ÑÒÈÕÈ ÔÐÀÍÖÓÇÑÊÈÕ ÏÎÝÒÎÂ
ÄËß ÏÅÐÅÂÎÄÀ ÍÀ ÐÓÑÑÊÈÉ, ÁÎËÃÀÐÑÊÈÉ, ÓÊÐÀÈÍÑÊÈÉ, ÏÎËÜÑÊÈÉ
È ÄÐÓÃÈÅ ÑËÀÂßÍÑÊÈÅ ßÇÛÊÈ.

ÊÎÍÊÓÐÑ ÔÐÀÍÖÓÇÑÊÎÉ ÏÎÝÇÈÈ 2014

http://www.stihi.ru/2011/05/10/6921


"AUDENTES DEUS IPSE JUVAT" - ñìåëûì ñàì Áîã ïîìîãàåò (Îâèäèé)

ÇÀÄÀÍÈß ÄËß ÐÓÑÑÊÈÕ è ÑËÀÂßÍÑÊÈÕ ÏÎÝÒÎÂ:

1.Ñ 1 ïî 20 íîÿáðÿ 2014 ã.ïðèñëàòü Âàøè ïîýòè÷åñêèå ïåðåâîäû ñ ôðàíöóçñêîãî ÿçûêà íà ðóññêèé èëè êàêîé - ëèáî ñëàâÿíñêèé ÿçûê ñòèõîâ ôðàíöóçñêèõ ïîýòîâ ñ ïîìîùüþ äîñëîâíûõ ïåðåâîäîâ, ñäåëàííûõ íàìè äëÿ êîíêóðñà, ëèáî ñ ïîìîùüþ ñâîèõ äîñëîâíûõ (ïîäñòðî÷íûõ) ïåðåâîäîâ.
Åñëè ê ñòèõàì íà ôðàíöóçñêîì ÿçûêå ìû íå äà¸ì ïîäñòðî÷íûå ïåðåâîäû, òî Âû ïðèëàãàåòå ïîäñòðî÷íûå ïåðåâîäû ýòèõ ñòèõîâ, ñäåëàííûå ëè÷íî Âàìè èëè ïðîôåññèîíàëüíûìè ïåðåâîä÷èêàìè (ïî æåëàíèþ ìîæåòå óêàçàòü àâòîðà äîñëîâíîãî ïåðåâîäà).

Êàê Âû óæå ïîíÿëè, Âàì áóäóò ïðåäëîæåíû ñòèõè ñ ïîäñòðî÷íûì ïåðåâîäîì è áåç íåãî.
Íîìèíàöèÿ 1 - ñòèõè, ïåðåâåä¸ííûå ñ ïîìîùüþ ïîäñòðî÷íîãî ïåðåâîäà, ïðåäîñòàâëåííîãî æþðè.
Íîìèíàöèÿ 2 -ñòèõè, ïåðåâåä¸ííûå áåç ïîäñòðî÷íîãî ïåðåâîäà, ïðåäîñòàâëåííîãî æþðè.


2.Ñ 1 ïî 20 íîÿáðÿ 2014 ã. ïðèñëàòü ïî 3-5 ñâîèõ ñòèõîòâîðåíèé íà ðóññêîì ÿçûêå
è äîñëîâíûé ïåðåâîä ýòèõ ñòèõîòâîðåíèé  íà ôðàíöóçñêèé ÿçûê.
 òåìå ïèñüìà îáÿçàòåëüíî óêàæèòå: Ôðàíöóçñêèé êîíêóðñ 2014. Ôàìèëèÿ è èìÿ.


3.Ñ 1 ïî20 íîÿáðÿ 2014 ã. ïðèøëèòå ñâîè ïðîèçâåäåíèÿ íà ðóññêîì ÿçûêå (ñòèõè èëè ïðîçó)
ïî òåìàì:

1) Ôðàíöèÿ è ðóññêàÿ ýìèãðàöèÿ.

2) Èñòîðè÷åñêèå ìåñòà Ôðàíöèè, ñâÿçàííûå ñ Ðîññèåé.

3) Çíàìåíèòûå âèíîãðàäíèêè Ôðàíöèè.

4) Òðàäèöèè Ôðàíöèè (èëè Òðàäèöèè Ôðàíêîÿçû÷íîé Êàíàäû).

5) Ïàðòèçàíñêîå äâèæåíèå âî Ôðàíöèè.

Äîïîëíèòåëüíîå çàäàíèå (ïî æåëàíèþ)
Êíèãè ôðàíöóçñêèõ ïèñàòåëåé, êîòîðûå ìû ïîëþáèëè â äåòñòâå.
Âàø ëþáèìûé ãåðîé.

Ëó÷øèå ïðîèçâåäåíèÿ áóäóò ïðåäëîæåíû ôðàíöóçñêèì ïîýòàì äëÿ ñîçäàíèÿ èìè ïîýòè÷åñêîãî ïåðåâîäà íà ðîäíîé ÿçûê. Âàøè òâîðåíèÿ ïðèìóò ó÷àñòèå â ðàçëè÷íûõ ïðåñòèæíûõ êîíêóðñàõ âî Ôðàíöèè.
ÊÎÍÊÓÐÑ ÔÐÀÍÖÓÇÑÊÎÉ ÏÎÝÇÈÈ  ÁÓÄÅÒ ÏÐÎÂÎÄÈÒÜÑß ÎÄÈÍ ÐÀÇ Â ÃÎÄÓ.

ÀÍÄÐÅ ËÀÁÐÎÑ. ÊÀÍÀÄÀ


ÄÎÌÀØÍÅÅ ÇÀÄÀÍÈÅ ¹6

Àíäðå Ëàáðîñ ïî ïðîèñõîæäåíèþ êâåáåê ( ôðàíêîÿçû÷íîå íàñåëåíèå Êàíàäû).
Îí ãîðäèòñÿ ñâîåé ïðèíàäëåæíîñòüþ ê ýòîé áëàãîðîäíîé íàöèè. Ëèòåðàòóðîâåä,
ñî÷èíÿåò ñòèõè áîëåå 30 ëåò. Ñîçäàë ñâîé ñîáñòâåííûé ëèòåðàòóðíûé ñòèëü
ñâîáîäíîé ïîýçèè áåç ïðèíóæäåíèÿ, âûáèðàÿ ïîèñòèíå ïîäëèííóþ «ñâîáîäíóþ
ïîýçèþ» - óäîâîëüñòâèå ñëîâ. Åãî íàñòàâíèê Àëüôðåä äå Ìþññå, êîòîðûì îí
çà÷èòûâàëñÿ â þíîñòè è êîòîðûé ïðîáóäèë â í¸ì æàæäó íàïèòüñÿ ïîýçèè è ñî÷èíÿòü...
Ïåðî äëÿ íåãî âåðíûé  ïîñòîÿííûé ñïóòíèê äóõîâíîãî îáîãàùåíèÿ.
Àíäðå Ëàáðîñ æåëàåò âñåì îñëåïèòåëüíîãî äíÿ ïî-êâåáåêîâñêè.

ÀÍÄÐÅ ËÀÁÐÎÑ. ÊÀÍÀÄÀ. Ôðàíêîÿçû÷íûé ïîýò.

Andre Labrosse

Ñòèõè äëÿ ïåðåâîäà ñ ôðàíöóçñêîãî áåç ïîìîùè äîñëîâíîãî ïåðåâîäà, ïîäãîòîâëåííîãî äëÿ êîíêóðñà:

Ce ciel.-

Je regarde le ciel, quelques nuages peureux.
J’en ris, je continue mes pas desinvoltes.
Vent frisquet, l’esprit rafraichit
Mes hesitations, mes etourderies.

Je regarde le ciel, l’immensite a` decouvrir.
Le plaisir a` rever, l’explicable pour s’adoucir.
Un besoin de s’evader de la faion subtile.
Aucun pourquoi, de l’ivresse a` comprendre.

Je regarde le ciel, il me comble de satisfaction.
Un sourire leger pour croire au bonheur.
Le lointain que je voudrais avec gloire.
Perception d’apaisement, brise soudaine.

Je regarde le ciel sans pensee precise.
De la legerete a` percevoir ma raison.
Pourquoi comprendre, laisser s’envoler l’absurde.
etre leger, divaguer quelque peu, un jeu.

Je regarde le ciel, un moment si agreable.
Je ferme les yeux, le temps s’arr;te.
L’esprit neant, un cour en repos.
Enfin la liberte, une paix si souhai


Andre Labrosse

LES AILES DE LA LIBERTE
      
Dehors la froidure glace les cedres enneiges.
Tout n’est que  respect dans cette nature violente.
La blancheur fige les etres deroutes
Et voila que des oiseaux m’enchantent…
Leur arrivee soudaine dans les perchoirs
Denotent leur fragilite a survivre.
De freles chardonnerets crient leur desespoir
Nourriture ! Nous voulons vivre!!!
Sans plus attendre , je leur offre des graines nourricieres.
Se melent des geais  bleus jasant de satisfaction
Et maintenant des mesanges dans une fierte altiere.
Petits  etres de douceur en cette  terr ible saison !
Je les scrute dans des mouvements sans arret.
Leur courage , une lecon  de vie admirable!
Un respect  m’envahit  dans une humble paix.
J’ envie  leur liberte  d’un regard agreable.
Le jour s’estompe… Il se cachent de la gelure.
L’Etre Supreme a cree votre beaute mais pourquoi  soffrir?
La douceur , votre royaume;la terre , la douleur,l’azur…
Allez! Voltigez votre grace pour mieux m’eblouir…

Andre Labrosse

S’AIMER

J’aime  l’amour , la vie d’un baiser.
Revasser d’un bonheur supplie.
Sentir un doux vent , mille caresses.
Etre l’extase d’un corps sans paresse.
Fermes les yeux, un sourire de jouissance.
L’immortalite  d’une fusion, d’un corps.
Etre l’apogee d’une grandiose prestance.
Aisance d’une peau ,fremissement  d’une flore.
Le calme d’un toucher ,effleurer  des sensations.
Trembler d’emotions  dans l’ivresse d’un instant.
Douce musique ou` le reve n’est qu’action.
Sublimite que je desire ,doux amant.
J’aime l’amour dans un silence merveilleux.
Une nudite correcte’ tout pres d’un feu.
Des images que je souhaite, douceur extraordinaire.
Chaleur exquise, je veux tellement plaire!!!

Andre Labrosse


Printemps d’amour

Femme savoureuse au doux chemisier,
Les corneilles craillent a` l’horizon.
De bonnes odeurs dans ta piece parfumee,
Les arbres se deplacent en chanson.

Chaleur humaine, bourgeons eclos,
Un sourire d’amour, des levres suaves,
Natures verdetres, un vent tout chaud
Balayant d’une main ces epaves.

Persiennes ouvertes, soleil chaleureux,
Le mele caresse cette charpente divine.
De la beaute alpestre, il en est heureux!
Passion aveugle de son prenom, Celine.

Riviere celine en de tendres souvenirs,
Eaux limpides purifiant nos corps geles,
De l’amour cache que l’on veut benir.
Exquisite, partage d’un moment printanier.

Quelques pas legers sur de l’herbe peu froisse,
Un serment fraichement avoue dans cet azur.
De la purete saisonniere a` peine exclamee
Et me voila amour present et futur…



Andre Labrosse


Fleurs apprivoisees

Fleur femelle, ton calice m’enveloppe à ravir.
Tes odeurs charment, l’arome ultime pour m’eblouir.
Une brise caresse ta tige, un spectacle embaumant.
La gracieusete de l’instant, un toucher charmant.

Fleur mâle, la fierte de tes petales, un regal!
Le sublime, un fleuron inconteste, l’ornemental.
Jouissance d’une présence reproductive, savoureuse.
Se deployer, la beaute masculine, juteuse.

Fleur hermaphrodite, nature complexe à comprendre.
Un duvet mysterieux qui se deploie sans attendre
À la recherche de son identite, couleurs diverses.
Le merite de s’arrêter malgré mille averses.

Fleurs des pois, le mele recherche, grandeur physique.
L’elegance assuree, boutonnière magique.
Pollinisation approuvee, inflorescence.
Des regards non moderes, douce cadence.

Fleurs en pot, de l’eau, je vous en prie!
L’asphyxie totale, se deployer m’Amie!
Près de la fenetre, souffrance, chaleur silencieuse.
Se retirer, un peu d’ombre, vie spacieuse.

Fleur cultivee, la conduite assuree, coloris magnifiques.
La bienseance aveugle, des semences aristocratiques.
D’une droiture exemplaire, la royauté avantagee.
Legere timidite, fleuraison non fanee.

Fleurs de rhetorique, l’ombrelle odorante.
Des mots légers, une gerbe palpitante.
La flore des phrases, bouquetière de rimes.
Royaute d’une plume qui s’exprime…

Fleurs du mal, dechirure du poète, le spleen devaste.
Vacillement d’une ecriture, un paradis desespere.
La luxure morbide, le fletrissement cervical.
Fraîcheur malodorante, espoir floral.

Fleurer malgre tout l’existence d’une beaute flexible.
Floraison, l’epanouissement à la mesure du tangible.
Fleurage, un pietinement gracieux, la volupte.
Floralies, tu m’entoures sans épines vers l’eternite.


Fragrance d’amour

Un corps  feutre de caresses.
Un peau chaude d’ivresse.
L’amant ,cette gentille canaille,
Etendu sur une douce paille
Leche des baisers enivrants
Dans l’attende du mot gemissant.
Tu es l’enchanteresse maitresse
Aux cheveux remplis de tresses.
L’esquisse d’une admirable ingenue
A la peau rosee merveilleusement nue.
Je bois tes larmes sensuelles
Dans un plaisir d’une ritournelle.
Odeur charnelle,chaude passion,
Le lit accueille nos splendides actions,
Un sourire mouille des yeux  provocateurs,
Le regard trace d’une belle chaleur,
Nuit de  sensations,souvenirs inoubliables
Rideau ferme dans l’inexplicable...



Avatard

Entitå impersonnelle, qui es-tu ?
Virtuel masquå, la crainte d’åtre perñue.
Un voile, une image, perception åtrange.
Le myståre, l’incapable de se divulguer.

Avatar, trop tard pour s’illuminer.
Refus de sa personnalitå råelle, l’incroyable
Mais qu’importe ! Nous sommes l’interrogation.
L’humain et ainsi avec ses incertitud

                ***
Joie indescriptible, printemps dåsirå.
Le soleil inåvitable, festin espårå.
Åclat de rire, partage canon.
Vent inånarrable, visage mignon.

Plaisir charmant, regard paisible.
Le verdåtre apaisant, l’accessible.
Danse printemps, calme ob;issant.
Spectacle grandiose, fåbrilitå de l’enfant.


La chance.-

Tout prås, bonheur-du-jour m’accueille discråtement
à la recherche d’un bien-åtre quelconque, dålicieusement.
Une båatitude entre les mots, la belle connaissance.
Comprendre la vie, s’åloigner d’une pånitence.
Tenter un contentement à l’approche d’une inquiåtude.
Se battre pour l’amour, douce et tendre plånitude.
Fuir l’åchec, s’åloigner d’un malheur certain.
åtre puissant avec sa plume, agråable refrain.
Le ravissement d’un souffle chaleureux, nulle menace.
Se baigner d’amitiå, converser, accord fugace.
Le sourire merveilleux, sinc;rit; absolue.
De la våracitå, jouissance confondue.
L’euphorie d’une aura respectable, respectåe.
L’applaudissement de s’expliquer, l’envolåe.
Un vîåu pieux, s’enrichir, la noblesse des mots.
Grandir, combattre l’indiffårence, p;nible åcho.
Apprendre doucement, dåcortiquer l’insaisissable.
Se nourrir d’espoir, caresses franchissables.
Ouvrir le tiroir magique, douce fleur.
Dåcouvrir enfin l’immense bonheur.


Soiree Andre Labrosse

Piege d’amour depuis longtemps  desire,
Saveur delectable d’une musique  veloutee
Ou` le coeur s’extasie  d’une levre aimante
En ces minutes glorieuses et offrandes.
Corps denude de toutes impuretes insalubres,
De la joie s’y installe  ignorant le lugubre
Y faisant place a` l’amour de plusieurs nuits
Ou` l’habitude  n’est  peu a` l’approche  du fuit.
Feu crepitant  de mille baisers flamboyants,
Je te desire dans une ardeur  plus qu’enfant.
Immortalite  du geste,c’est l’amour sincere
D’une vie qui nous offre une belle galere.



Mon “Moi” Andre Labrosse

Tu es mienne au plus profond de moi,
Tu es ma Reine sous un silence evocateur.
Tu es le joyau qui en fait foi,
Tu es ce que je desire avec ardeur.
Tu es ma planche de salut vers l’apogee,
Tu es mon desir  frisant la folie.
Tu es mon destin pour y rester,
Tu es mon corps au rythme du defi.
Tu es mon soleil ,mon sourire,ma gaiete,
Ma force ,mon regain,mon espoir de tous les jours.
Tu es tout et plus encore,ma Bien-aimee ;
Tu  es un Amour et plus que mille discours...


ÒÐÅÁÎÂÀÍÈß ÆÞÐÈ:

 òåìå ïèñüìà óêàæèòå: ÊÎÍÊÓÐÑ 3 (ÔÐ-2014) ÄÎÌÀØÍÅÅ ÇÀÄÀÍÈÅ.
Ñîäåðæàíèå ïèñüìà:
1. Ô.È.Î.ó÷àñòíèêà êîíêóðñà + ññûëêà íà Âàø ñàéò ÑÒÈÕÈ.ÐÓ
2.Îáðàçîâàíèå
3.Íåñêîëüêî ñòðîê î ñåáå.
4.Ñòðàíà, ãîðîä, àäðåñ.
5.Ôîòî
6.Ïåðå÷åíü ïðèñûëàåìûõ ïåðåâîäîâ + ñîáñòâåííûå ïðîèçâåäåíèÿ.
ÍÅ ÇÀÁÛÂÀÉÒÅ ÄÀÂÀÒÜ ÑÑÛËÊÓ ÍÀ ÂÀØÓ ÑÒÐÀÍÈ×ÊÓ
È ÑÑÛËÊÈ ÂÀØÈÕ ÏÐÎÈÇÂÅÄÅÍÈÉ.

Ïðè ïóáëèêàöèè Âàøèõ ïðîèçâåäåíèé, ñâÿçàííûõ ñ êîíêóðñîì,
äàâàéòå ññûëêó íà V Ìåæäóíàðîäíûé êîíêóðñ:
http://www.stihi.ru/2011/05/10/6921

    Âñ¸ ýòî îáëåã÷èò ðàáîòó æþðè.

   

ÂÍÈÌÀÍÈÅ!!!

ÀÄÐÅÑ ÆÞÐÈ ÔÐÀÍÖÓÇÑÊÎÃÎ ÊÎÍÊÓÐÑÀ:

<sinaya-ptica@yandex.ru>,

ÊÎÍÊÓÐÑ ÔÐÀÍÖÓÇÑÊÎÉ ÏÎÝÇÈÈ 2012
(çàäàíèÿ äëÿ ðóññêèõ è ñëàâÿíñêèõ ïîýòîâ)
http://www.stihi.ru/2011/05/10/6921

Êîíêóðñíûå ðàáîòû îöåíèâàþòñÿ âî Ôðàíöèè.
Èòîãè êîíêóðñà ïðèñûëàþòñÿ íàøåìó ïðåäñåäàòåëþ æþðè äëÿ ïóáëèêàöèè.

ÈÒÎÃÈ ÌÊ "ÖÂÅÒÎ×ÍÛÅ ÈÃÐÛ Â ÏÈÐÅÍÅßÕ". ÔÐÀÍÖÈß
http://www.stihi.ru/2011/11/16/10032


    ÑÏÀÑÈÁÎ!

ÆÞÐÈ ÆÅËÀÅÒ ÂÀÌ ÓÑÏÅÕÎÂ!!!

ÂÍÈÌÀÍÈÅ!!!

ÏÐÎÄÎËÆÅÍÈÅ ÑËÅÄÓÅÒ!

ÈÑÒÎÐÈß ÊÎÍÊÓÐÑÀ:

I ÌÅÆÄÓÍÀÐÎÄÍÛÉ ÊÎÍÊÓÐÑ ÏÎÝÒÈ×ÅÑÊÈÕ ÏÅÐÅÂÎÄÎÂ
"ÁÎËÃÀÐÑÊÈÉ ßÇÛÊ: ÊÓËÜÒÓÐÍÛÅ ÒÐÀÄÈÖÈÈ È ÑÎÂÐÅÌÅÍÍÎÑÒÜ"
áûë ïðîâåä¸í âåñíîé 2010ã.
http://www.stihi.ru/2010/05/20/179

II ÌÅÆÄÓÍÀÐÎÄÍÛÉ ÊÎÍÊÓÐÑ ÏÎÝÒÈ×ÅÑÊÈÕ ÏÅÐÅÂÎÄÎÂ.
"ÁÎËÃÀÐÑÊÈÉ ßÇÛÊ: ÑÂßÇÜ ÂÐĄ̊Í, ÑÂßÇÜ ÏÎÊÎËÅÍÈÉ":
http://www.stihi.ru/2010/10/12/1711

ÈÒÎÃÈ  I  ÌÅÆÄÓÍÀÐÎÄÍÎÃÎ ÊÎÍÊÓÐÑÀ ìîæíî ïîñìîòðåòü çäåñü:
http://www.stihi.ru/2010/06/27/5158

ÈÒÎÃÈ  II ÌÅÆÄÓÍÀÐÎÄÍÎÃÎ ÊÎÍÊÓÐÑÀ ìîæíî ïîñìîòðåòü çäåñü:
http://www.stihi.ru/2010/11/21/9984

III ÌÅÆÄÓÍÀÐÎÄÍÛÉ ÊÎÍÊÓÐÑ ÏÎÝÒÈ×ÅÑÊÈÕ ÏÅÐÅÂÎÄÎÂ.
"ÁÎËÃÀÐÑÊÈÉ ßÇÛÊ: ÎÒÐÀÆÅÍÈÅ ÈÑÒÎÐÈÈ ÑÒÐÀÍÛ È ÑÓÄÜÁÛ ×ÅËÎÂÅÊÀ
 ÇÅÐÊÀËÅ ÑÎÂÐÅÌÅÍÍÎÉ ÏÎÝÇÈÈ"
http://www.stihi.ru/2010/12/01/8781

ÈÒÎÃÈ III ÌÅÆÄÓÍÀÐÎÄÍÎÃÎ ÊÎÍÊÓÐÑÀ ìîæíî ïîñìîòðåòü çäåñü:
http://www.stihi.ru/2011/04/30/1062

ÈÒÎÃÈ ÌÅÆÄÓÍÀÐÎÄÍÎÃÎ ÊÎÍÊÓÐÑÀ "ÖÂÅÒÎ×ÍÛÅ ÈÃÐÛ Â ÏÈÐÅÍÅßÕ". Ôðàíöèÿ - 2011
http://www.stihi.ru/2011/11/16/10032

ÈÒÎÃÈ ÌÅÆÄÓÍÀÐÎÄÍÎÃÎ ÊÎÍÊÓÐÑÀ ÏÎÝÒÈ×ÅÑÊÈÕ ÏÅÐÅÂÎÄÎÂ
Ñ ÔÐÀÍÖÓÇÑÊÎÃÎ ßÇÛÊÀ "ÐÀÄÓÃÀ ËÞÁÂÈ" 2011 ìîæíî ïîñìîòðåòü çäåñü:
http://www.stihi.ru/2012/01/13/1009

ÈÒÎÃÈ ÊÎÍÊÓÐÑÀ ÐÀÁÎÒ Î ÏÅÍÜÎ ÏÅÍÅÂÅ:
http://www.stihi.ru/2011/12/17/1564

IV ÌÅÆÄÓÍÀÐÎÄÍÛÉ ÊÎÍÊÓÐÑ ÏÎÝÒÈ×ÅÑÊÈÕ ÏÅÐÅÂÎÄÎÂ
"ÁÎËÃÀÐÑÊÈÉ ßÇÛÊ: ÏÐÎØËÎÅ, ÍÀÑÒÎßÙÅÅ È ÁÓÄÓÙÅÅ"
http://www.stihi.ru/2011/04/21/1240

Èòîãè IV ÌÅÆÄÓÍÀÐÎÄÍÛÉ ÊÎÍÊÓÐÑ ÏÎÝÒÈ×ÅÑÊÈÕ ÏÅÐÅÂÎÄÎÂ
"ÁÎËÃÀÐÑÊÈÉ ßÇÛÊ: ÏÐÎØËÎÅ, ÍÀÑÒÎßÙÅÅ È ÁÓÄÓÙÅÅ"
×àñòü1  http://www.stihi.ru/2011/12/31/1589
×àñòü2  http://www.stihi.ru/2011/12/31/1476
×àñòü3  http://www.stihi.ru/2011/12/31/1308